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notre seigneur - Page 2

  • Méditation : ne reportons pas sans cesse à demain...

    « Si nous voulons bien y réfléchir, cette vie n'est autre chose qu'une guerre continuelle. En cet exil, en cette vallée de larmes, c'est notre partage de chaque jour, combattus que nous sommes, sans cesse, par trois mortels ennemis : le monde, le démon et la chair.
    Le monde nous appelle avec ses vices et ses richesses, nous promet une vie longue et nous dit : "Allons ! Toi qui es jeune, abandonne-toi à ton bon plaisir ; quand tu seras vieux, tu te corrigeras".

    Le démon nous tend sans cesse des pièges et des filets pour nous faire trébucher et tomber ; il nous empêche de faire le bien et de pratiquer la charité ; il nous plonge dans le souci des biens temporels pour écarter le souvenir de Dieu et du soin, que nous devons avoir, de garder notre âme pure et de l'enrichir par les bonnes œuvres. A peine sortis d'une préoccupation, nous tombons en une autre. "Oui, bientôt, disons-nous, aussitôt cette affaire terminée, je veux amender ma vie", et répétant ainsi "bientôt, bientôt", nous n'arrivons jamais à échapper aux séductions du démon, jusqu'à ce qu'enfin survienne l'heure de la mort et que disparaissent tous les faux biens, promis par le monde et le démon. Car tels le Seigneur nous trouvera, tels il nous jugera. Il serait donc bon de nous corriger à temps, et de ne pas faire comme ces gens qui disent : "Demain !", toujours "Demain !", et jamais ne commencent.

    L'autre ennemi, le plus dangereux, est comme un voleur domestique et familier qui, avec de belles paroles et sous de bonnes apparences, s'efforce sans cesse de nous entraîner à la perdition : c'est la chair, notre corps, qui ne veut que bien manger, bien boire, bien se vêtir, bien dormir, travailler peu et s'adonner au vice et à la vaine gloire.
    Contre ces trois ennemis, la protection, l'aide et la grâce de Notre-Seigneur nous sont bien nécessaires. Il faut aussi nous humilier profondément, quitter tout pour Jésus-Christ, notre tout, placer notre confiance uniquement en lui, confesser sincèrement tous nos péchés aux pieds du confesseur, accomplir la pénitence imposée, ne plus jamais pécher pour l'amour de Jésus-Christ seul ; et s'il nous arrive de faillir, nous confesser souvent. Ainsi nous pourrons vaincre ces ennemis dont j'ai parlé.

    Surtout, ne nous fions pas à nous-mêmes, sous peine de tomber mille fois par jour dans le péché, mais mettons notre confiance en Jésus-Christ seul. Pour sa bonté, pour son amour seul, évitons le péché, la médisance ; ne faisons ni tort ni mal au prochain, mais souhaitons-lui ce que nous voudrions qu'on nous fît à nous-mêmes. Désirons aussi le salut de tous les hommes et aimons, servons Jésus-Christ seul, pour lui-même et non par crainte de l'enfer. »

    St Jean de Dieu (8 mars 1495-8 mars 1550), fondateur de l'Ordre des Religieux de la Charité, extrait de la deuxième lettre à la Duchesse de Sessa. (Source)

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    L'hôpital qu'il a fondé à Grenade a donné naissance aux Frères Hospitaliers de Saint Jean de Dieu.
    Canonisé en 1690, il a été proclamé en 1886 par Léon XIII Patron des malades, des hôpitaux et des ordres hospitaliers, et en 1930 par Pie XI, Patron des infirmiers, infirmières et de leurs associations.
    Les personnes alcooliques sollicitent son aide pour guérir leur dépendance.

     

    Prière pour les malades
     
    Seigneur, daigne exaucer notre prière pour tous les affligés et ceux qui les soignent !
    Pour ceux qui t’aiment et t’offrent leurs souffrances : soutiens leur cœur devant les défaillances de leur nature.
    Pour ceux qui te cherchent : fais briller à leurs yeux la lumière de ta croix d’où descendent le pardon et la paix.
    Pour ceux qui te méconnaissent : fais entendre la parole de consolation : « Venez à moi, vous tous qui souffrez, et je vous soulagerai ».
    Pour tous ceux qui sont au service des souffrants et qui veillent sur eux : à tous Seigneur, donne le calme, le courage, la paix et la consolation.
    Accorde ta miséricorde Seigneur, à ceux que tu rappelleras à toi !
    Ô Marie, consolatrice des affligés, priez pour nous !
    Notre Père Saint Jean de Dieu, priez pour nous !

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  • Lundi 13 janvier 2014

    Calendrier liturgique

    (Calendrier traditionnel : Commémoraison du Baptême du Seigneur)
  • Mercredi 1er janvier 2014

    Sainte Marie, Mère de Dieu

    Au calendrier traditionnel : Circoncision de Notre Seigneur

  • Mercredi 25 décembre 2013

    Nativité de Notre Seigneur

    Calendrier liturgique

    « La date historique de la nativité temporelle du Sauveur étant inconnue dans les premiers temps, une antique tradition, inaugurée peut-être au début du IIe siècle, célébrait les diverses théophanies du Christ dans sa nature mortelle, c’est-à-dire sa naissance, sa manifestation aux Mages et son baptême dans le Jourdain, peu après le solstice d’hiver, dans les dix premiers jours de janvier. Cette date conventionnelle avait déjà trouvé crédit dans toutes les Églises, quand, on ne sait comment, Rome dédoubla pour son compte la fête des Théophanies, anticipant au 25 décembre l’anniversaire de la naissance temporelle du Sauveur.

    Quand et comment l’Église-mère arriva-t-elle à établir cette date ? Nous l’ignorons, puisque, sauf un texte très douteux du commentaire d’Hippolyte sur Daniel, le plus ancien document qui fixe Noël au 25 décembre est le calendrier philocalien de 336, qui porte cette indication : VIII Kal. ian. natus Christus in Betleem Iudee. Évidemment, le chronographe n’annonce rien de nouveau, mais il se fait l’écho de la tradition romaine antérieure, qui, dans le Liber Pontificalis prétend remonter jusqu’au pape Télesphore. Dans le discours fait à Saint-Pierre par le pape Libère donnant, le jour de Noël, le voile des vierges à Marcelline, sœur de saint Ambroise, on ne relève aucune allusion à la nouveauté de la fête, mais, au contraire, tout le contexte donne l’impression qu’il s’agit d’une solennité de vieille date, à laquelle le peuple a coutume d’accourir en foule, en vertu d’une ancienne habitude. La fête de Noël fut, au début, propre au siège apostolique. Saint Jean Chrysostome qui l’introduisit à Antioche vers 375, en appelle précisément à l’autorité de la capitale du monde latin, où, à son avis, seraient encore conservés les actes du recensement de Quirinus, avec la date précise de la naissance du Christ à Bethléem le 25 décembre. D’Antioche, la fête passa à Constantinople. Sous l’évêque Juvénal, entre 424 et 458, elle fut introduite à Jérusalem, puis, vers 430, fut admise à Alexandrie, et, de ces célèbres sièges patriarcaux, elle se répandit aussi peu à peu dans les diocèses qui en dépendaient. Actuellement, seuls les Arméniens monophysites célèbrent encore la naissance du Christ à sa date primitive, le 6 janvier.

    Il ne faut pourtant pas négliger une coïncidence. Le calendrier civil du recueil philocalien note au 25 décembre le Natalis invicti, la naissance du soleil, et cette naissance coïncide justement avec le solstice d’hiver. A l’époque où, grâce aux mystères de Mithra, le culte de l’astre du jour avait pris un tel développement que, au dire de saint Léon, même les fidèles qui fréquentaient la basilique Vaticane, se permettaient d’y pratiquer le rite superstitieux de saluer d’abord, de l’atrium de l’Apôtre, le disque solaire, il n’est pas improbable que le siège apostolique, en anticipant au 25 décembre la naissance du Christ, ait voulu opposer au Sol invictus, Mithra, le vrai Soleil de justice, cherchant ainsi à détourner les fidèles du péril idolâtre des fêtes païennes. Dans une autre occasion, tout à fait semblable, c’est-à-dire pour la fête des Robigalia le 25 avril, Rome adopta une identique mesure de prudence, et, au cortège païen du pont Milvius, elle substitua la procession chrétienne qui parcourait le même trajet. »

    Bx Cardinal Schuster (1880-1954), Liber Sacramentorum - Notes historiques et liturgiques sur le Missel Romain, Tome I, Vromant, Bruxelles, 1933.

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  • Message des évêques catholiques orientaux d'Europe

    « Les évêques catholiques orientaux d'Europe, réunis pour leur rencontre annuelle sous le parrainage du CCEE, dans la ville de Košice, capitale européenne de la culture 2013, sur l'invitation de l’éparche grec-catholique local, à l'heureuse occasion de la célébration des 1150 ans de l'arrivée des saints Cyrille et Méthode parmi les populations slaves, ont abordé le thème de l'évangélisation de la culture, en relisant la mission évangélisatrice des deux saints frères grecs, tout en gardant à l'esprit les défis auxquels leurs Églises en Europe doivent faire face au niveau local.

    A la fin de cette rencontre, les évêques adressent à leurs fidèles et à tous les hommes de bonne volonté ce message d'espérance, de charité et d’amour.

    Nous souhaitons, encore une fois, affirmer et rappeler les racines chrétiennes de l'Europe, profondément convaincus de l'actualité du message des saints Cyrille et Méthode. Une civilisation et une culture européenne, déracinée de l'Évangile salvifique de Jésus, ne pourra jamais construire une société humaine solide, basée sur des valeurs éthiques, morales et sur la famille, qui puissent garantir la justice et la paix entre les peuples. Une culture sans Dieu conduit l'homme au désespoir et à la mort. Nous nous battons pour une culture de la vie et de l'espérance : une culture qui soit en mesure d'accueillir l'homme et toutes ses dimensions, de créer la fraternité, l'amour, l'amitié et la solidarité, notamment envers les pauvres, envers ceux qui sont marginalisés et abandonnés. Une culture digne de ce nom est celle qui possède le culte de Dieu, un Dieu qui aime l'homme, chaque homme, pour lequel Il a donné sa vie et Il a vaincu la mort par sa glorieuse Résurrection.

    Nous connaissons bien les problèmes de nos peuples, la crise qui frappe le continent européen et le monde entier, le terrorisme et les nombreux conflits armés, les luttes politiques et le racisme. La crise n'est pas seulement économique, mais elle est surtout spirituelle. Nous, les chrétiens, dans notre identité de catholiques orientaux, nous sommes appelés à être des témoins plus authentiques du riche patrimoine hérité par nos pères, soutenus par le martyre de nombreux pasteurs et frères. Nous voulons annoncer la Bonne Nouvelle de l'Amour de Dieu à tous, dans la joie et dans l'enthousiasme. Nous avons besoin de Dieu pour retrouver le sens de notre existence sur cette terre. Personne ne peut porter sa croix tout seul, mais il doit le faire avec Dieu et avec ses frères. Voilà pourquoi nous voulons rappeler, encore une fois, que Jésus-Christ ne se tient pas à l'écart de nos vicissitudes. Il nous demande de confier en Lui. Trouvons donc, en Lui, le rocher sur lequel nous pouvons nous appuyer dans les vicissitudes de notre vie.

    L'expérience vivante du Christ Ressuscité était la source de laquelle jaillissait l'engagement des chrétiens dans la construction de la culture européenne. Aujourd'hui comme hier, nous, les évêques catholiques orientaux d'Europe, nous voulons confirmer notre bonne volonté à collaborer dans la construction d'une culture de la rencontre et du dialogue basée sur la vérité, sur la liberté, sur la justice, le respect et la tolérance.

    Dans le contexte européen, nos communautés ecclésiales catholiques orientales et chaque fidèle, au niveau personnel, sont appelés, par la Providence Divine, à continuer la mission évangélisatrice des Saints Cyrille et Méthode, en faisant les mises à jour nécessaires au niveau intérieur ainsi qu'en suivant le progrès organique voulu par le Concile Vatican II. De cette façon, nos riches traditions ne se borneront pas à représenter un monument à admirer ou à rappeler, mais elles seront une source de vie pour guérir la culture européenne qui se sécularise et se déchristianise de plus en plus.

    Pendant notre rencontre, nous avons considéré avec appréhension la situation dramatique de souffrance de nos confrères et fidèles chrétiens au Moyen-Orient, notamment en Syrie. En union avec le Saint-Père et avec les évêques locaux, nous demandons que la voie du dialogue soit entamée avec une plus grande décision et qu’à la prière s'ajoutent des décisions politiques basées sur la justice et sur le respect des différentes communautés religieuses, pour arriver à introduire un cessez-le-feu immédiat, à abandonner toute forme de violence et à arrêter d’introduire les armes qui alimentent la guerre dans le pays.

    Par l'intercession de la Mère de Dieu et des Saints Cyrille et Méthode, nous invoquons la paix de Notre Seigneur sur toutes les personnes du continent. »

  • Méditation : notre misère et les trésors de grâces de Notre Seigneur

    « Notre Seigneur vient à nous avec les trésors infinis de ses grâces. Notre confiance en Lui doit être grande et inébranlable, comme est étendue, et immense, la bonté de Notre Seigneur. Que faut-il pour que les trésors de ses grâces puissent se déverser ? Il faut qu'ils rencontrent les abîmes de notre bien grande misère, il faut que nous ouvrions nos abîmes de misères devant Lui. Si Notre Seigneur pouvait avoir une peine, ce serait je crois, d'avoir ses mains chargées de toutes sortes de grâces de choix et de ne rencontrer, de ne trouver personne qui veuille les recevoir. Ah ! Combien en laissons-nous passer ? Et combien y résistent ? Et sont infidèles à la grâce ? Il est certain qu'une des grandes souffrances de Notre Seigneur étant sur la terre, a été ce manque de confiance, ce peu de compréhension de son amour ; l'amour enseigne tout ; il n'y a que cela qui compte. La confiance n'est pas un sentiment, mais un mouvement de la volonté. »

    Mère Marie de la Croix (1901-1999), Entretiens spirituels B 13e, in "Textes choisis - Avec Marie - S'unir au Christ Rédempteur", Éditions de la Morinaie, Saint Aignan sur Roë, 2008.

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  • Méditation avec Ste Marguerite-Marie

    « Lorsqu'un jour de la Saint-Jean, Marguerite-Marie avait, comme Gertrude, reposé sur le Cœur de Jésus, ce cœur lui était bien apparu comme embrasé d'amour pour chacun d'entre nous. Dans ce moment d'extase où elle s'abandonnait à la force de son amour, Jésus lui avait dit ces mots qui sonnent comme une véritable "déclaration" de Dieu à l'humanité et à chacun d'entre nous :

    "Mon Cœur est passionné d'amour pour les hommes
    et pour toi en particulier."

    [...]
    Pourquoi Jésus manifestait-il ainsi son Cœur aux hommes ? Parce que, les voyant si pauvres d'amour, il voulait les enrichir des "trésors du CŒUR DE DIEU, qui en était la source, lequel il fallait honorer SOUS LA FIGURE DE CE CŒUR DE CHAIR" (1).
    "Il me fit voir, poursuit la sainte,

    Que partout où cette sainte image serait exposée, pour y être honorée,
    il y répandrait ses grâces et bénédictions.
    Et que cette dévotion était comme un dernier effort de son amour
    qui voulait favoriser les hommes, en ces derniers siècles,
    de cette rédemption amoureuse [...]
    pour nous mettre sous la douce liberté de l'empire de son amour,
    lequel il voulait rétablir dans les cœurs
    de tous ceux qui voudraient embrasser cette
    dévotion." (2)


    L'acte de naissance de la fameuse "dévotion au Sacré-Cœur" comporte donc essentiellement le don que Dieu fait à son peuple d'une "sainte image", à laquelle il attache une grâce et une bénédiction toutes spéciales. Cette image, bientôt accueillie dans les églises les plus reculées du monde, deviendra, au fil des ans, le trésor le plus précieux des pauvres. »

    (1) : VO3, 2, 568 ; VO4, 2, 572-573 ; VO5, 2, 478. L, 133.
    (2) : VO3, 2, 568-569 ; VO4, 2, 572-573 ; VO5, 2, 479.

    P. Édouard Glotin, La Bible du Cœur de Jésus (ch. VI), Presses de la Renaissance, Paris, 2007.

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    Premier dessin du Sacré-Cœur : "crayon" de 1685 réalisé par Ste Marguerite-Marie

    Histoire de la dévotion au Sacré-Cœur de Jésus

  • Lundi 1er juillet 2013

    Calendrier liturgique

    Au calendrier traditionnel :
    Fête du Très Précieux Sang de Notre Seigneur Jésus-Christ

  • Méditation et Prières : Notre-Dame de Fatima

    Prière enseignée par l'Ange du Portugal aux enfants de Fatima
    (printemps 1916)

    « Mon Dieu, je crois, j'adore, j'espère et je Vous aime.
    Je Vous demande pardon
    Pour tous ceux qui ne croient pas, qui n'adorent pas
    Qui n'espèrent pas et qui ne Vous aiment pas. »

    Prière enseignée par l'Ange du Portugal aux enfants de Fatima
    (automne 1916)

    « Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint Esprit
    Je Vous adore profondément et je Vous offre les Très Précieux
    Corps, Sang, Âme et Divinité de Notre Seigneur Jésus-Christ
    Présent dans tous les tabernacles de la terre
    En réparation des outrages, sacrilèges et indifférences
    Par lesquels Il est Lui-même offensé.
    Par les mérites infinis de Son Très Saint Cœur
    Et du Cœur Immaculé de Marie
    Je Vous demande la conversion des pauvres pécheurs. »

    1ère Apparition de Notre-Dame le 13 mai 1917

    - Je suis venue vous demander de venir ici pendant six mois de suite, le 13, à cette même heure. Ensuite, je vous dirai qui je suis et ce que je veux. Après je reviendrai encore ici une septième fois.

    - Voulez-vous vous offrir à Dieu pour supporter toutes les souffrances qu'Il voudra vous envoyer, en acte de réparation pour les péchés par lesquels Il est offensé, et de supplication pour la conversion des pécheurs ?

    - Récitez le chapelet tous les jours afin d'obtenir la paix pour le monde et la fin de la guerre.

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  • 25 décembre : Nativité de Notre Seigneur

    Calendrier liturgique

    Je souhaite de tout coeur à chacune et chacun d'entre vous une belle, joyeuse et sainte fête de la Nativité. Puisse l'Enfant nouveau-né, Verbe fait chair, vous apporter cette Paix profonde que Lui seul peut nous offrir, et éclairer de sa douce et chaleureuse Lumière chacun de ces jours qu'Il nous donne de vivre, et en lesquels Il nous appelle toujours plus près de Lui !

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    Noël ! Noël ! Noël !